Alors que l’Europe cherche à mettre fin à sa dépendance aux combustibles fossiles russes, l’uranium de Moscou reste systématiquement le grand absent des sanctions successives adoptées par l’Union européenne, notamment en raison de l’opposition de plusieurs États membres d’Europe centrale et orientale, mais aussi de la France. Le nouveau train de sanctions adopté ce 6 octobre ne déroge pas à la règle.